Album Title
Greenslade
Artist Icon Bedside Manners Are Extra (1973)
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CD Art
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3D Face
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3D Spine
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First Released

Calendar Icon 1973

Genre

Genre Icon Progressive Rock

Mood

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Style

Style Icon Rock/Pop

Theme

Theme Icon ---

Tempo

Speed Icon Medium

Release Format

Release Format Icon Album

Record Label Release

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World Sales Figure

Sales Icon 0 copies

Album Description Search Icon Country Icon
De nouveau Roger Dean pour cette somptueuse pochette. Si le premier album nous avait enchanté, ce deuxième opus l'est tout autant. On remarque que la batterie de McCulloch est beaucoup plus présente ici et c'est une bonne chose. Les titres instrumentaux forment la majorité de l'album si l'on ajoute aux trois instrus, les deux titres "Time to dream" et " Sunkissed.." qui sont très peu chantés. Seul le morceau d'ouverture est chanté du début à la fin. "Bedside manners are extra" démarre l'album dans la douceur, tranquille, comme si l'on goûtait la quiétude d'un soir d'été, avec une belle voix nocturne de Lawson, un synthé au son très "Rod Argent" dans "The clown", qui tisse ses arabesques, doux comme du coton, enveloppant un très beau mellotron en arrière plan: bref, un morceau somptueux. L'instrumental qui suit est Le morceau de l'album, le plus évident mélodiquement et l'un des plus réussi de l'histoire de Greenslade avec le "Sundance" du premier album. "Pilgrims Progress" est construit en plusieurs parties. Une intro calme et grandiloquente jouée au mellotron et aux strings-synthé, puis un thème enjoué qui donne envie de chanter, dans la grande tradition des Jethro Tull et autres Camel, un thème très mélodieux joué au mellotron (son flûte) doublé à l'orgue. Troisième mouvement lent, d'essence classique baroque avec de beaux chorus de synthétiseur, puis retour au fameux thème précédent (que l'on connait désormais par cœur): un vrai joyau musical, le genre de titre que l'on écoutait en boucle (enfin pas vraiment, à l'époque: fallait remettre le bras de la platine au début du sillon et bien viser). Une belle ligne de basse lance le superbe "Time to dream". Sur un tempo jazzy-bluesy le chant démarre sur une mélodie au parfum légèrement oriental, assez brièvement pour laisser la place à deux beaux solos de piano électrique (Greenslade) et de synthé (Lawson) avant que Dave Greenslade nous gratifie d'un final arabisant à l'orgue Hammond avec superbe effet sonore-pédale wah-wah. Nouvel instrumental avec "Drum Folk" ! Dans la famille "batteur" je voudrais Andrew McCulloch...c'est un morceau taillé pour ce prodigieux batteur, morceau d'ailleurs co-écrit par Greenslade et McCulloch, normal vu les deux énormes solo de batterie (milieu et fin) qui y figurent. Début expérimental comme de la musique concrète, puis démarrage en mode jazz-rock pour lancer un premier solo de batterie hallucinant. Calme olympien ensuite, joué par un synthé en son flûte de toute beauté (c'est beau comme un adagio baroque) puis par un orgue encore wah-wah pour un solo superbe. McCulloch referme le tout par un nouveau solo d'une minute fait de roulements et autres syncopes dignes des grands batteurs de jazz (on pense à Art Blakey et son "Blues march" ou encore à Max Roach pour ne citer qu'eux). Grand morceau ! Le jazz-rock saccadé de "Sunkissed you're not" qui suit, chanté en voix de tête par Lawson, nous offre un superbe solo de piano électrique jazzy de Dave Greenslade: ça tourne et c'est réglé comme du papier à musique sur une rythmique basse-batterie de feu (mention spéciale à la basse de Tony Reeves). Belle atmosphère qui se dégage de l'instrumental final "Chalkhill", claviers vaporeux, solos orgue-violons dans le style "Canterbury", puis tempo rock 'n' roll avec solos d'orgue et de synthé Emersonien façon "Aquatarkus", le tout finissant par un piano paisible et nocturne à souhait comme pour nous dire "bonne nuit". Bien bel ouvrage que cet Opus II de Greenslade, un groupe vraiment hors norme. (Xanthul)

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